A la distance où se trouve le tireur, et avec larme quil utilise, le titane résiste (mais tremble bien plus que le vibranium, évidemment). Une vidéo en slow motion et bien what the fuck comme on en trouve parfois sur le net (quand des...
Un seul gros morceau de métal et un seul moteur pour le faire avancer -> meilleur ratio poids gens/véhicule? Moins de trains total pour transporter le même nombre de personnes -> moins de pertes énergétiques dues au frottements fluides Les trains présentent d'autres gros avantages: Écologiques: est possible dès maintenant d'utiliser 100% d'énergie électrique pour les trains (en plus avec une bonne efficacité énergétique sur toute la chaîne, moteur electrique 95% efficace, toussa). Contrairement au voitures électriques à base de batteries/hydrogène, pas de processus chimique dans le véhicule complexe pour le faire avancer de rétention de chaleur dues au matériaux des routes dans les centres urbains.
Oui, mais comment produit-on l'hydrogène? Actuellement, la seule filière industrielle existante est par crackage d'hydrocarbures, extrêmement émissif. Pour que le bilan carbone de l'hydrogène soit réellement intéressant, il faudrait commencer par développer une filière de production par électrolyse, et donc disposer d'un surplus d'électricité. En France, nous disposons potentiellement de ce surplus, puisqu'il ne coûterait pratiquement rien de faire tourner nos centrales nucléaires à plein régime en période de basse consommation. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle quelques uns de nos barrages fonctionnent en pompage-turbinage. Vu le nombe de centaines de TWh en jeu, il serait étonnant que cette option n'ait pas déjà été explorée, l'électrolyse de l'eau étant pratiquement aussi ancienne que l'électricité. L'article cite l'exemple du Sipperec à Créteil. Une brêve recherche m'amène sur leur site, où je lis: En assurant le stockage des énergies renouvelables, l'hydrogène amorce un double cycle vertueux: C'est là tout le nœud du problème: absorber la surproduction occasionnelle d'électricité imposée par les EnR, et compenser leur sous-production tout aussi aléatoire.
Les risques posés à la santé publiquesemblent "plutôt faibles", a estimé l'Organisation mondiale de la santé(OMS). Pour ce qui concerne l'agglomération de Tokyo, il n'y a pas à ce stade derisque, tant que la situation n'évolue pas. Nous vous tiendrons informésrégulièrement – ou en urgence si la situation l'exige – de toute évolution. 4. Recommandations L'Ambassade continue de suivre de très près l'évolution de la situation, encontact à la fois avec Paris et avec les autorités japonaises. Nous recommandons à nos ressortissants de suivre en toutes circonstances lesconsignes des autorités japonaises. Il est notamment conseillé à nosressortissants vivant dans les zones à proximité des centrales de secalfeutrer dans leur domicile (il faut couper les systèmes d'aération), etde faire quand ils le peuvent des provisions de bouteilles d'eau potable. Nous conseillons à nos ressortissants qui n'ont pas de raison impérative dese rendre au Japon, de reporter leur voyage. L'Ambassade ne manquera pas d'informer ses compatriotes si de nouvellesconsignes devenaient nécessaires.
Transports La majorité des gaz à effet de serre produits au Québec viennent des transports... Alors si les voitures roulaient à hydrogène (en plus des électriques à batterie), on peut imaginer des trains à hydrogène, des camions à hydrogène, des bateaux à hydrogène, des tracteurs de ferme à hydrogène... Bref tous les moyens de transports pour lesquels les batteries au lithium ne sont pas suffisantes. Certains moteurs à combustion pourraient brûler directement de l'hydrogène alors que d'autres auraient des moteurs électriques activés par des piles à hydrogène (fuel cells).
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