A la distance où se trouve le tireur, et avec larme quil utilise, le titane résiste (mais tremble bien plus que le vibranium, évidemment). Une vidéo en slow motion et bien what the fuck comme on en trouve parfois sur le net (quand des...
Le jeune héros grandit en effet au fil du jeu et doit terminer dix niveaux différents puis affronter le terrible Scar. Enfant, Simba saute plus facilement de plate-forme en plate-forme. Il peut donner de faibles coups de griffes, pousser un rugissement retournant sur eux-mêmes les ennemis les plus faibles et sauter sur ses ennemis pour les assommer. Adulte, le personnage est plus apte au combat et peut se jeter sur un ennemi en créant une mêlée et donner des coups de griffes attaquant certains ennemis sans sauter dessus. Le jeu s'oriente alors vers l'action jusqu'au combat contre Scar que le joueur doit faire tomber à bas de Pride Rock. Un niveau à part entière place le jeune Simba devant un troupeau de gnous sur le point de le piétiner: le niveau devient une course d'obstacle sur trois pistes, le personnage de Simba faisant face à l'écran. Des indications apparaissent sur l'écran pour signaler sur quel(les) piste(s) les prochains obstacles apparaitront, incitant le joueur à se déplacer ou à effectuer un saut.
Traverser la ville un dimanche matin pour aller dans une salle avec dix personnes à tout casser, dont seulement deux enfants. Se dire qu'on ne doit pas être seule à être un brin nostalgique. Se farcir les pubs et bandes annonces en grommelant. Sentir l'émotion vous prendre la gorge dès les premières notes de musique (qui commencent quelques secondes avant l'image, j'avais oublié). Prendre sur... J'me sens comme un Pumba triste (air connu) Honte sur mes frêles épaules d'avoir octroyé froidement un 5/10 à ce film alors que je ne l'avais vu qu'une seule fois, au lycée. Mon erreur sera vite réparée grâce à l'intervention sans ménagement du seigneur des pandas, à renfort de lunettes 3D et d'une salle rennaise remplie de mioches. Dès la première scène, je n'ai jamais autant senti le poids de mes 6 ans. Cette musique et cette... La révolution n'est pas un diner de gala Un royaume sous la coupe d'une famille royale autoritaire tombe en décrépitude après la mort du puissant monarque, Mufasa. Bien que le jeune et insouciant prince Simba soit pressenti pour prendre sa suite en tant qu'héritier, celui-ci part en exil dans un camp hippie, ne pouvant supporter la pression.
A noter que la version Super Nintendo du soft est strictement identique dans son déroulement. Les graphismes y sont juste un peu plus fins (palette de couleurs plus large oblige) et quelques effets sonores ont été rajoutés ça et là.
Ce parti pris est d'autant plus judicieux que chaque période propose des actions uniques et un gameplay diffèrent: ainsi, lorsqu'il est petit, Simba devra sauter sur ses ennemis pour les éliminer. Une fois adulte, sa palette de coups s'étoffera et il pourra alors donner des coups de patte et utiliser ses griffes acérées pour envoyer les adversaires ad patres. A part ça, le jeu est une vraie réussite technique, avec ses graphismes chatoyants et son animation magnifiquement réalisée. Certains moments du jeu, comme cette séquence en vue de face où les gnous poursuivent le lionceau, sont même particulièrement impressionnants pour de la Megadrive. L'environnement sonore n'est pas en reste, puisque la plupart des musiques du long métrage ( "Je voudrais déjà être roi", "Soyez prêtes", "Hakuna Matata") sont reprises ici pour notre plus grand plaisir. Le Roi Lion est donc un très bon jeu, et seule sa maniabilité parfois lourdaude et imprécise l'empêche de boxer dans la catégorie supérieure et d'atteindre le statut d'incontournable de la machine.
La preuve avec ces quelques photos comparatives. C'est d'autant plus flagrant que les premières images du Roi Lion 2019 reprennent pour la plupart directement des plans du dessin animé: la naissance de Simba, déjà en partie montrée dans le premier teaser, sa discussion philosophique sur fond de soleil couchant avec son papa Mufasa, les menaces de Scar, l'apprentissage de la vie aux côtés de Timon et Pumbaa puis les retrouvailles avec Nala sont autant de scènes cultes reprises ici. Le teaser du Roi Lion copie-colle parfaitement le dessin animé Le changement d'apparence le plus flagrant revient à Scar, dont le pelage a été largement modifié, et qui n'a plus ce regard cruel, mélange de jaune et de vert perçants. Le but est qu'il ressemble davantage à un "vrai lion". La cicatrice qui lui a donné son nom est toujours là, ainsi qu'une nouvelle à l'oreille, mais elles sont bien moins visibles que dans le dessin animé. Ces changements rappellent ceux effectués sur Shere Khan ou Baloo pour Le Livre de la Jungle, en 2016: Disney Cela permettra d'offrir un certain réalisme au design de ce nouveau Roi Lion, même si tous ces animaux parleront.
Sans jamais dénaturer le récit, quasiment calqué à l'identique, cette version troque l'imaginaire d'antan pour le réalisme un tantinet artificiel. Si on ne boudera pas totalement le plaisir de (re)découvrir l'aventure de Simba avec un habillage actualisé, le film de Jon Favreau repose sur une justification sommaire (avions-nous besoin d'un tel remaster? ). Plus joli mais moins charmant, Le Roi Lion (2019) n'a plus tous les joyaux de la couronne. Mais Hakuna Matata comme dirait l'autre. Top C'est quand même plutôt très joli Simba quand il est petit Le fond reste le même Bof Scar fait quand même pitié Pumbaa aussi Le réalisme tue le charme Article publié initialement le 11 juillet 2019 La rédaction vous recommande
Le Roi Lion débarque fin 1994 sur la 16 bits de Sega, soit quasiment en même temps que le long-métrage éponyme. Développé par Westwood Studios et édité par Virgin Interactive, le jeu reprend fidèlement la trame du film et retrace donc les aventures du lion Simba, qui va devoir en découdre avec son oncle Scar, lequel a eu la cruauté de tuer son père, le roi Mufasa. Le jeu s'articule autour de onze levels, qui reprennent les moments principaux du film: on retrouvera ainsi Simba en train de gambader dans la terre des lions, on fera une halte dans le ténébreux cimetière des éléphants, on s'ébrouera dans les cascades du Hakuna Matata et on finira par en découdre avec Scar au sommet du rocher des lions, pour un combat final de haute volée. Histoire de détendre un peu l'atmosphère, quelques niveaux bonus amusants avec Timon et Pumbaa viennent parfois s'intercaler entre les stages. La grande idée du jeu, c'est de proposer au joueur de diriger Simba à différentes époques de sa vie: on commence ainsi l'aventure dans la peau d'un jeune lionceau et on la termine avec un lion dans la force de l'âge.
Lors de sa sortie originale en 1992, l'ado ingrat que j'étais rejetait un peu tout le cinéma d'animation, et Disney en particulier, mais devant les très bon échos du film, le dernier véritable triomphe de Disney, dans le ciné traditionnel, je m'étais juré quelques temps après de le voir plus tard avec mes éventuels enfants. J'ai donc attendu 20 ans et sa sortie 3D (ce que je n'aurais pu prévoir en 1992, je n'étais pas devin:o) pour voir enfin sur grand écran ce que valait ce chef d'oeuvre de l'animation. Et je dois dire que je n'ai pas été déçu, tant, tout, de l'intrigue (vraie tragédie shakespaerienne) aux personnages ( superbe personnage du méchant, Scar, vrai dictateur en genèse, très réussi, et comme le disait Hitchcock, si un méchant est réussi, le film l'est aussi), en passant par les chansons et les chorégraphies, est un émerveillement pour les yeux et les oreilles. En revanche, et excépté quelques effets de profondeur, la 3D devient vite anecdotique et démontre les limites du procédé quand le film n'a pas étéroi prévu dans cette optique au moment du tournage (on doit certainement avoir le même problème pour le Titanic actuellement en salles) Ce qu'en a pensé l'enfant: Mon fils de 5ans et demi allait un peu à reculons voir le roi Lion.
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