A la distance où se trouve le tireur, et avec larme quil utilise, le titane résiste (mais tremble bien plus que le vibranium, évidemment). Une vidéo en slow motion et bien what the fuck comme on en trouve parfois sur le net (quand des...
Parce qu'avec le vote de l'article 7 samedi matin, il tenait son scalp des régimes spéciaux, un symbole politique envoyé à l'électorat de droite? Et parce que s'arrêter avant l'examen des articles 9 et 10 permet de s'épargner de bien mauvaises polémiques? Le premier concerne la valeur du point, le second l'âge d'équilibre dans le futur système. Deux sujets sur lesquels la majorité n'était pas forcément à l'aise et s'est fait secouer par les oppositions en commission spéciale. Notamment sur le futur indicateur devant servir à revaloriser le point: un obscur «revenu d'activité moyen» qui, de l'aveu même de la majorité… n'existe pas aujourd'hui. Par ailleurs, les municipales approchant et la lutte contre le coronavirus s'intensifiant, le gouvernement avait tout intérêt à vite tourner la page de cette première lecture chaotique. En réalité, l'exécutif s'est piégé tout seul. Alors qu'il a repoussé à plusieurs reprises les arbitrages pour aboutir à son projet de loi depuis deux ans, il s'était, depuis décembre, fixé l'objectif d'une adoption définitive «avant l'été»… sachant pertinemment que, cette année, pour cause de travaux, l'hémicycle de l'Assemblée nationale est indisponible de juin à septembre.
Sur la question des plus hauts salaires, il n'a jamais été démenti, ni précisé depuis. Pourtant, la réforme prévoit un bouleversement majeur. Dans le système actuel, les salariés cotisent sur leur salaire à environ 28% pour la retraite (environ 17% sont pris en charge par l'employeur et 11% par le salarié). Et ce jusqu'à 324 000 euros brut de salaire annuel, soit 27 000 euros brut par mois. Au-delà de cette somme, les très hauts salaires continuent à cotiser, au taux de 2, 3% (1, 9% payé par l'employeur, 0, 4% par le salarié), mais sans que cela leur donne de droits supplémentaires pour la retraite. Il s'agit uniquement d'une participation au financement du système, sans droits en contrepartie. Dans le futur système, le gouvernement a décidé de baisser drastiquement le plafond de la cotisation commune à tous. Seuls les salaires allant jusqu'à 10 000 euros brut par mois seront concernés par la nouvelle cotisation de 28, 12%. Au-delà, la cotisation ne sera plus que de 2, 8% et elle sera non contributive (elle n'ouvrira pas de droits supplémentaires).
level 1 Du coup finalement, on touchera deja beaucoup moins que nos parents à carrière égale, et cette réforme ne fait qu(accentuer légèrement le problème? Ca fait rêver. level 2 Tant qu'on ne touche pas aux (grosses) retraites existants hein! /s level 2 Être sous le seuil de pauvreté et retraité. e ça fait rêver je trouve. Au 5 décembre! level 1 Oui evidemment mais c'est pour le mieux; c'est soit ça a moyen terme soit au long terme des baisses beaucoup plus drastique avec le deficite qui aura ete accumulé level 1 Si ce n'est pas cette réforme là, ça sera la suivante, puis la suivante, etc. Dans 30 ou 40 ans les pensions servies devront mécaniquement être réduites compte tenu des évolutions démographiques. La seule solution c'est de minimiser autant que possible ses cotisations au régime général pour se constituer une retraite par capitalisation. level 2 Il y a une génération qui a touché la retraite sans cotisé, il y en aura une (toi lecteur) qui cotisera sans toucher... Epargner à mort, s'expatrier pour ne pas cotiser à fond perdu, il faudra trouver des solutions.
« Bien que ce chiffre soit honorable, s'il devait rester en l'état, il ne figurerait pas dans les annales pour cette thématique », écrit un rédacteur dans cette fameuse note relayée par Le Parisien. A titre de comparaison, la réforme des retraites portée par Eric Woerth en 2010 avait entraîné dix jours d'actions et mobilisé un total de 8 millions de personnes, avec un seuil bas à 375 000 personnes et surtout un pic à 1, 3 million. L'un des points de bascule pourrait se jouer au niveau du secteur privé. S'il « n'apparaît pas très mobilisé » actuellement, il pourrait rejoindre la cause des manifestants en fonction des futures annonces du gouvernement sur la réforme des retraites. En terme de sécurité, Patrice Ribeiro, secrétaire général du syndicat Synergie officiers, craint que « le point faible réside dans les syndicats étudiants, inorganisés et profanes. »
level 2 Si ce n'est pas cette réforme là, ça sera la suivante, puis la suivante, etc. Le but de la retraite par point est justement d'en finir avec les réformes tous les 5 ans, en ayant un système qui ajuste la valeur du point en fonction des variables cotisations/pensions/démographie. level 2 Dans 30 ou 40 ans les pensions servies devront mécaniquement être réduites compte tenu des évolutions démographiques. Tu veux dire quand la génération baby boom ne sera plus? Bizarrement j'ai l'impression que ce sera l'inverse d'un coup un paquet de retraité va disparaitre ca devrait donc être meilleur pour les restants level 2 C'est dans 10 ans pas 30 ou 40. level 2 Alors, peut-être que je comprends rien, mais on a beaucoup gagné en productivité, donc on génère beaucoup plus de richesse par travailleur. Ca ne devrait pas compenser cette évolution démographique? level 2 Dans 30 ou 40 ans les pensions servies devront mécaniquement être réduites compte tenu des évolutions démographiques. Dans 30 à 40 ans, y'aura quasiment plus de boomers.
Les forces de police se retrouvent désormais dans l'attente d'une annonce officielle concernant le dispositif de sécurité à mettre en place. « La question est de savoir si le préfet de police de Paris va donner des ordres pour intervenir comme lors du 1er mai quand la tête de cortège a été infiltrée par les black blocs, au risque de scinder la manifestation », souligne le secrétaire national du Syndicat des commissaires de la police nationale (SCPN). « Soit on laisse les black blocs agir, et on sera accusé d'avoir laissé casser, soit on intervient et on sera accusé d'entrave à la liberté de manifester. » 270 000 manifestants dans toute la France Les services de renseignements territoriaux tentent d'évaluer le niveau de mobilisation qu'il devrait y avoir dans l'Hexagone jeudi 5 décembre. A l'aide de sources humaines et des informations récoltées sur les réseaux sociaux notamment, les dernières estimations s'élèvent à 270 000 personnes mobilisées ce jour-là. Un cortège allant de 15 à 25 000 opposants devrait voir le jour à Paris.
Les instances françaises continuent d'être sur leurs gardes à l'approche d'un jeudi 5 décembre qui s'annonce mouvementé. Le journal Le Parisien est parvenu à avoir accès à une note de 11 pages du service central du renseignement territorial (SCRT) rédigée au début de cette semaine décisive. « Une déconvenue pourrait sceller le sort du syndicalisme tel qu'on le connaît et laisserait le champ libre à de nouvelles formes de mobilisation plus réactives et moins encadrées, et donc plus difficiles à appréhender... », serait-il notifié dans ce document. Paris pourrait de nouveau être le lieu d'affrontements lors des manifestations. Les renseignements territoriaux envisagent des « risques de débordements et de violences liés à la présence de l'ultra gauche et des gilets jaunes. » Sur l'ensemble du territoire, la police s'attend à la présence de 600 manifestants violents, dont 400 uniquement pour la capitale. D'autres villes comme Nantes, Rennes, Toulouse, Montpellier, Marseille, Bordeaux ou même Dijon pourraient être marquées par des violences.
C'est un cadeau aux entreprises », dénonce donc la CGT. En revanche, pour un haut cadre, au niveau individuel, le bénéfice est moins certain, voire assurément factice: pour compenser les droits à la retraite qu'il n'obtiendra plus sur une partie de son salaire (selon l'IPS, la perte ira de 500 à 2 500 euros par année de cotisation, en fonction du niveau de salaire), il lui faudra bien mettre de l'argent de côté. Et il perdra presque immanquablement au change par rapport à la retraite servie par la Sécurité sociale, notamment parce qu'une partie de l'argent qu'il mettra de côté ou qu'il placera sera taxé, et parce que les rendements assurés par les banques ou les assureurs sont très incertains sur le long terme.
Jeudi noir notamment dans les transports, J-1: cheminots, enseignants, étudiants, policiers, avocats s'apprêtent à se mobiliser à l'appel de plusieurs syndicats et partis d'opposition et aux côtés de « gilets jaunes » contre la future réforme des retraites, que l'exécutif se dit déterminé à mener à son terme.
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