A la distance où se trouve le tireur, et avec larme quil utilise, le titane résiste (mais tremble bien plus que le vibranium, évidemment). Une vidéo en slow motion et bien what the fuck comme on en trouve parfois sur le net (quand des...
Parfois, les objectifs des politiques économiques peuvent être contradictoires, par exemple lorsqu'il y a stagflation: l'inflation dépassant sa cible alors que l'économie est en situation de sous-emploi. Dans ce cas, la règle de Taylor aide à mettre en balance ces différentes considérations pour fixer le taux d'intérêt. Plus précisément, en spécifiant, Taylor suggère que les banques centrales doivent augmenter le taux d'intérêt nominal pour chaque augmentation de l'inflation. En d'autres termes, en considérant que le taux d'intérêt réel est approximativement le taux d'intérêt nominal moins l'inflation, poser revient à dire que lorsque l'inflation augmente, le taux d'intérêt réel doit également augmenter. Références [ modifier | modifier le code] Voir aussi [ modifier | modifier le code] John B. Taylor Politique monétaire Liens externes [ modifier | modifier le code] (en) Discretion versus policy rules in practice, John B. Taylor (fr) Les indicateurs de la politique monétaire, Direction générale du Trésor et de la Politique économique, juin 2005 (fr) Règle de Taylor et application à la zone-euro, Frédérique Sibi (fr) Règle de Taylor: présentation, application, limites, Banque de France, bulletin n°45, septembre 1997
Enfin, Yates doute qu'une règle de croissance fixe de la masse monétaire permette de surmonter le problème de la borne zéro. En effet, dans une trappe à liquidité, où le taux directeur est à la borne zéro et où les agents s'attendent à ce qu'elle y demeure perpétuellement, une quelconque croissance de la masse monétaire n'a aucun impact. Références BERNANKE, Ben S. (2015), « The Taylor rule: A benchmark for monetary policy? », 28 avril. KRUGMAN, Paul (2015), « Veg-O-Matic egonomics », in The Conscience of a Liberal (blog), 5 mai. T AYLOR, John B. (1993), « Discretion versus policy rules in practice », Carnegie‐Rochester Conference Series on Public Policy, vol. 39, n° 1. TAYLOR, John (2015), « Monetary rules work better than 'constrained discretion' », in Wall Street Journal, 2 mai. YATES, Tony (2015), « More on John Taylor vs Bernanke », in longandvariable (blog), 4 mai. publié par Martin Anota - dans Politique monétaire
Elle doit servir de référence aux décisions de politique monétaire: la banque centrale doit fixer son taux directeur au plus proche du niveau indiqué par la règle. Taylor s'est montré très critique des décisions que la Fed a prises au cours des douze dernières années. Il n'a cessé d'affirmer que la Fed ne fixe pas son taux directeur au niveau approprié et que ce sont ces écarts qui expliquent les mauvaises performances de l'économie américaine. En l'occurrence, le taux directeur de la Fed a été inférieur au taux d'intérêt suggéré par la règle de Taylor entre 2003 et 2005, ce qui suggère que la politique monétaire a été excessivement accommodante au cours de cette période et qu'elle aurait ainsi alimenté la bulle immobilière à l'origine de la crise du crédit subprime. La Fed aurait de nouveau fixé son taux directeur à un niveau sensiblement inférieur à celui indiqué par la règle de Taylor suite à la crise financière. Si la Fed l'avait scrupuleusement suivie, elle aurait relevé ses taux directeurs depuis plusieurs années.
D'autre part, Bernanke prend un plus grand coefficient pour l'écart de production que Taylor: en l'occurrence, lorsque la production s'éloigne d'un point de pourcentage de son niveau potentiel, Bernanke considère que la Fed fait varier son taux directeur non pas d'un demi-point de pourcentage, mais d'un point de pourcentage. GRAPHIQUE 2 Estimations du niveau approprié du taux directeur à partir d'une règle de Taylor modifiée Bernanke constate alors que le taux directeur de la Fed a été assez proche de sa règle de Taylor modifiée au cours des deux dernières décennies. En l'occurrence, le taux directeur n'a pas été excessivement faible entre 2003 et 2005. En outre, la règle de Taylor modifiée de Bernanke suggère que le taux directeur de la Fed aurait dû être négatif depuis la crise financière. Or, le taux d'intérêt nominal a été contraint par sa borne zéro: comme la Fed ne pouvait adopter un taux directeur négatif, l'adoption de mesures non conventionnelles comme les achats d'actifs à grande échelle apparait justifiée.
Bernanke rejette également l'idée que l'économie américaine ait réalisé de piètres performances ces dernières années. Certes la Grande Récession a été la crise économique la plus forte depuis la Grande Dépression. Mais les Etats-Unis ont connu une reprise plus forte suite à la Grande Récession que bien d'autres pays avancés. La reprise a fait face à plusieurs « vents contraires » comme le resserrement de la politique budgétaire américaine à partir de 2010, ainsi que la crise de la zone euro. Si Bernanke reconnaît que la règle de Taylor fournit une description simple des décisions monétaires prises par le passé, il rejette l'idée qu'elle puisse indiquer comment la politique monétaire doit être décidée dans la période courante. Si la règle de Taylor qu'il a lui-même utilisé lui apparaît plus appropriée que celle initialement présentée par Taylor pour décrire les décisions que prit la Fed par le passé, Bernanke ne pense pas pour autant qu'elle doit être utilisée par la Fed pour prendre ses décisions futures.
John Taylor (2015) a répliqué à Bernanke dans un article du Wall Street Journal. Tout d'abord, il soutient que la règle émerge de plusieurs décennies de recherche à propos de la politique monétaire optimale. Il rappelle qu'il n'est pas le seul économiste à avoir affirmé que la Fed avait maintenu son taux directeur « trop longtemps trop bas ». Ensuite, il regrette que Bernanke se soit focalisé sur la période où il était membre du conseil des gouverneurs. En l'occurrence, la Fed avait déjà tendance à poursuivre une politique monétaire excessivement accommodante au cours des années soixante-dix, or cette période fut marquée par d'amples déséquilibres macroéconomiques, une forte inflation couplée à un chômage élevé. Par contre, au cours des années quatre-vingt et quatre-vingt-dix, période au cours de laquelle Taylor estime que sa règle réplique assez finement la trajectoire effective du taux directeur, l'économie américaine fut marquée par une relative stabilité de l'activité et une faible inflation.
30 Novembre 2001 Résumé La BCEAO a opté depuis la fin des années 80, pour une politique de gestion indirecte de la monnaie, avec comme principal instrument opérationnel, le taux d'intérêt. De façon générale, le processus de fixation du taux d'intérêt intègre des paramètres internes (taux d'inflation, taux de croissance de l'économie, position extérieure des banques, évolution des crédits à l'économie, etc. ) et externes (taux d'inflation du principal partenaire -la France-, taux d'intérêt à étranger, évolution du taux de change, etc. ). La présente étude se propose de déterminer une règle permettant de décrire le processus qui sous-tend l'évolution des taux d'intérêt de court terme dans l'UMOA, c'est à dire une fonction de réaction de la Banque Centrale. Pour ce faire, la règle de Taylor, qui relie le niveau du taux d'intérêt de court terme au gap de production et à l'écart entre le taux d'inflation observé et le taux d'inflation objectif, a été adaptée au contexte de la BCEAO et testée sur les données annuelles et trimestrielles des pays de l'Union.
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