A la distance où se trouve le tireur, et avec larme quil utilise, le titane résiste (mais tremble bien plus que le vibranium, évidemment). Une vidéo en slow motion et bien what the fuck comme on en trouve parfois sur le net (quand des...
J'y ai également trouvé un coup de canif envers la société anglaise, peu encline à accepter les différences d'ordre social au sein d'un couple, ce conservatisme peut-être typiquement insulaire. Un très très grand classique donc. Un incontournable selon moi. © Nath
Elle y croise Maxime de Winter, un aristocrate anglais récemment veuf. Ils se côtoient durant la grippe qui confine Mme Van... Critique de Rebecca par Juwai Rebecca est un livre agréable à lire quoiqu'agaçant par la bonne volonté que met l'héroïne/narratrice à tomber dans tous les pièges "tendus" par feue Rebecca et par l'inertie de son mari, visiblement décidé à ne pas l'aider un seul instant. Même si l'on soupçonne assez rapidement la vérité, Daphné du Maurier n'en finit pas d'abattre ses cartes et celles de Rebecca. Toutes les critiques du livre Rebecca (18) Vous pourriez également aimer... 7. 9 Jane Eyre (1847) 7. 8 Les Hauts de Hurle-Vent (1847) 8. 0 Orgueil et Préjugés (1813) 7. 7 Rebecca (1940) Dix petits Nègres (1939) Les Liaisons dangereuses (1782) 7. 0 Madame Bovary (1857) Le Portrait de Dorian Gray (1890) 7. 5 Gatsby le magnifique (1925) Le Parfum (1985)
» Cédric Aussir, Réalisateur. « La partition qui accompagne et souligne l'adaptation du roman de Rebecca est une musique originale écrite spécialement pour cette œuvre. En collaboration avec le réalisateur j'ai composé une musique assez minimaliste, transparente et très différente des précédentes fictions. L'orchestre uniquement composé de cordes et d'un piano soulignera surtout les parties narratives du roman. L'ambiance reste particulièrement intimiste et on ne retrouve pas les grandes envolées orchestrales des précédentes productions, le sujet s'y prêtant moins. Le résultat musical est le fruit d'une véritable collaboration avec Cédric Aussir. » Didier Benetti, Compositeur et chef d'orchestre Avec: Elle: Melissa Barbaud Madame Van Hopper: Edith Scob Maxim de Winter: Emmanuel Salinger Mme Danvers: Dominique Reymond Ben: Stéphane Valensi Firth: Maurice Antoni Capitaine Searle: Jean-Claude Durand Docteur Baker: Dominique Daguier Coroner: Christian Cloarec Franck Crawley: Laurent D'Olce Voix 1: Aurélien Osinski Voix 2: Norbert Ferrer Bruitage Elodie Fiat Musicien Metteur en onde: Paul Malinovski, Elsa Biston.
8, 40€ Un manoir majestueux: Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l'ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir? Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d'œuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Il fait aujourd'hui l'objet d'une traduction inédite qui a su restituer toute la puissance d'évocation du texte originel et en révéler la noirceur. Cette nouvelle traduction retranscrit remarquablement les atmosphères nimbées de mystère et l'ambiguïté – si chère à Hitchcock – des personnages, qu'ils soient morts ou vifs. Marine de Tilly, Le Point. Rebecca est un de ces romans qui hantent un esprit toute une vie Mauriac, Figaro Madame. Une excellente traduction qui permet de redécouvrir ce roman indémodable et subtil. Olivia de Lamberterie, Elle. "Rebecca" de Alfred Hitchcock avec Joan Fontaine, Dame Judith Anderson
Texte original de l'émission d 'Orson Welles Adapté par Howard Koch d'après le roman de Daphné du Maurier Traduit de l'américain par Sophie Brissaud Réalisation: Cédric Aussir Avec l'Orchestre National de France Musique originale et direction d'orchestre: Didier Benetti Conseillère littéraire Caroline Ouazana et Emmanuelle Chevrière Enregistrée le 08 octobre 2016 au studio 104, de la Maison de la radio Un manoir majestueux: Manderley. Un an après sa mort, le charme noir de l'ancienne propriétaire, Rebecca de Winter, hante encore le domaine et ses habitants. La nouvelle épouse, jeune et timide, de Maxim de Winter pourra-t-elle échapper à cette ombre, à son souvenir? Immortalisé au cinéma par Hitchcock en 1940, le chef-d'œuvre de Daphné du Maurier a fasciné plus de trente millions de lecteurs à travers le monde. Présentation du Livre de poche. Cinéaste, metteur en scène, acteur, Orson Welles fut aussi un homme de radio. On connaît sa célèbre phrase « À la radio, l'écran est plus grand ».
La conclusion de l'enquête est le suicide, mais le cousin de Rebecca émet des doutes sérieux quant à cette version et réclame un complément d'enquête… Il aboutit à la découverte que Rebecca était atteinte d'un cancer inopérable et à court terme, fatal. Plus de doute: aux yeux de la justice, Rebecca s'est suicidée. Maxim et sa jeune femme, soulagés et enfin libres, roulent vers Manderley avec l'espoir d'y vivre enfin heureux. Mais Madame Danvers, désespérée, a mis le feu au manoir et au bout de leur route, le ciel est rouge et incandescent: Manderley brûle. Honneurs [ modifier | modifier le code] Rebecca occupe la 6 e place au classement des cent meilleurs romans policiers de tous les temps établi par la Crime Writers' Association en 1990. Rebecca occupe aussi la 9 e place au classement des cent meilleurs livres policiers de tous les temps établi par l'association des Mystery Writers of America en 1995. Adaptations [ modifier | modifier le code] Cinéma [ modifier | modifier le code] 1940: Rebecca, film américain réalisé par Alfred Hitchcock, d'après le roman éponyme de Daphne du Maurier, avec Laurence Olivier, Joan Fontaine et Judith Anderson.
Avec Rebecca, nous proposons une nouvelle vision de cette œuvre radiophonique qui inaugura le 9 décembre 1938 The Campbell Playhouse, le programme radiophonique d'Orson Welles sur la CBS. Cédric Aussir a repris le scénario de Welles, et Didier Benetti a composé comme pour un film, recréant cette atmosphère onirique, somnambulique si particulière à l'œuvre de Daphné du Maurier. Compositeur et réalisateur ont travaillé étroitement ensemble pour cette nouvelle création. « Au-delà de son intrigue amoureuse, Rebecca reste célèbre pour avoir fait de son héroïne éponyme non seulement la figure centrale, mais surtout la grande absente de ce thriller aux accents gothiques. Rebecca hante littéralement les murs de Manderley où ses habitudes lui survivent et s'imposent – comme son nom – à la nouvelle Mme de Winter. J'ai voulu qu'on entende cette omniprésente absente, qu'on la guette derrière les non-dits et les silences, aussi bien que dans certaines phrases des personnages où elle s'immisce… Mais c'est davantage grâce à la présence incorporelle de la musique que la fascinante Rebecca se manifeste dans ce récit sans cesse aux prises avec la réalité.
La narratrice, âgée de 20 ans, est très peu sûre d'elle. Elle rencontre Maximilien de Winter, qui à l'âge de 42 ans, veuf depuis peu. Tous deux développent une amitié qui, en quelques semaines, évolue en amour d'un romantisme décalé, en raison de leur différence d'âge, mais aussi du nom considéré comme exotique et androgyne du personnage principal. Quand vient le temps pour M me Van Hopper de quitter Monte-Carlo, Maxim propose à la jeune fille de l'épouser et de vivre avec lui à Manderley, son magnifique manoir en Cornouailles (sud-ouest de l'Angleterre). Elle accepte. À leur arrivée, ils sont accueillis par l'ensemble du personnel, dont la gouvernante, M me Danvers, qui la compare constamment à Rebecca, la précédente épouse de Maxim, morte noyée quelque temps auparavant, et qu'elle admirait passionnément. La « présence » invisible de Rebecca est immédiatement perceptible, comme de son vivant, lorsqu'elle dominait le ménage et la maisonnée. Présence toujours plus obsédante, renforcée en cela par M me Danvers, « jouant » constamment avec M me de Winter, la faisant développer nervosité et doutes sur son statut dans le ménage.
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rebecca. Rebecca Couverture de l'édition originale de 1938. Auteur Daphne du Maurier Pays Royaume-Uni Genre Roman gothique, roman policier Version originale Langue Anglais britannique Titre Éditeur Victor Gollancz Lieu de parution Londres Date de parution 1938 Version française Traducteur Denise Van Moppès (éd. de 1939) et Anouk Neuhoff (éd. de 2015) Éditions Albin Michel Paris 1939 Nombre de pages 438 modifier Rebecca est un roman policier de la romancière britannique Daphne du Maurier, paru en 1938. Le roman, inspiré par les œuvres de Charlotte Brontë et peut-être aussi par celles de Jane Austen, est considéré au XXI e siècle comme un classique de la littérature anglaise. L'intrigue rappelle en partie celle du roman La Préférée de Carolina Nabuco, paru en 1934. Résumé [ modifier | modifier le code] Une jeune femme, la narratrice anonyme, travaille comme demoiselle de compagnie de M me Van Hopper, femme mondaine et acariâtre, résidant dans un hôtel de Monte-Carlo.
Cette nouvelle traduction, c'était surtout un prétexte pour me replonger dans ce roman lu il y a déjà de nombreuses années. Que dis-je, lu? Dévoré, oui. Pourtant, je relis rarement, très rarement… Il y a tant de nouvelles parutions chaque jour. Ce qui m'a décidée, c'est l'envie de redécouvrir le texte, de m'intéresser à la construction et à l'écriture plus qu'à l'histoire et puis aussi de mesurer à quel point les images naissant de ma lecture pouvaient être influencées par ce que j'en savais déjà et notamment par le fameux film d'Alfred Hitchcock. En fait, je pense que j'ai beaucoup plus apprécié cette seconde fois… La traduction y est sans doute pour quelque chose même si je n'ai pas gardé mon exemplaire de l'époque et suis donc incapable de comparer les deux versions. Mais la narration est fluide, le langage particulièrement évocateur et, bien que connaissant l'histoire (La jeune épouse de Maxime de Winter confrontée au souvenir de Rebecca, sa première femme décédée tragiquement et regrettée par tout son entourage, en apparence…), je me suis laissée ferrer une nouvelle fois, prise par la façon dont Daphné du Maurier fait monter la sauce (l'apparition progressive de Rebecca ou plutôt de son souvenir, signature par-ci, on-dit par-là est orchestrée de façon brillante), impressionnée par la maîtrise de l'ensemble.
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