A la distance où se trouve le tireur, et avec larme quil utilise, le titane résiste (mais tremble bien plus que le vibranium, évidemment). Une vidéo en slow motion et bien what the fuck comme on en trouve parfois sur le net (quand des...
«Depuis un même ordinateur, un réseau criminel peut repérer ses futurs produits (prostituées, ndlr), faire venir les clients, puis blanchir l'argent du trafic», synthétise Yves Charpenel. Le magistrat dénonce le niveau «industriel et sans risque de l'exploitation sexuelle en ligne, qui permet aux proxénètes d'éviter les risques personnels» en se tenant «à distance du trafic». Le rapport, qui mentionne une note du ministère français de l'Intérieur datée de mai 2018, souligne que «pour la première fois en 2017, le pourcentage de victimes identifiées exerçant sur la voie publique était inférieur à celui des victimes exerçant en prostitution logée». Bordels éphémères Les réseaux criminels s'appuient désormais de plus en plus sur les services de messagerie instantanée, tel que Whatsapp, pour «gérer leur activités», explique l'étude. La Fondation rappelle notamment le démantèlement en Espagne en 2017 d'un réseau international de pédopornographie sur WhatsApp ou encore l'arrestation d'une femme russe pour avoir dirigé un réseau de prostitution au Liban et dans tout le Moyen-Orient via cette même application.
Locations pas chères, boulots avec des contrats flous, petites annonces… La prostitution étudiante semble avoir de beaux jours devant elle. La précarité et Internet sont autant de facteurs déterminants dans l'exercice de cette pratique. Un phénomène qui inquiète les universités. Le point avec le Dr Marie Pluzanski, impliquée dans les campagnes de sensibilisation à l'Université de Poitiers. La prostitution étudiante ne date pas d'aujourd'hui, bien sûr. Toutefois, elle s'entoure toujours d'un véritable tabou. En passe d'être banalisée dans le milieu étudiant, elle va de pair avec la crise et une certaine précarité, mais pas seulement: Internet et son accès facilité aux différentes offres participent à son éclosion. Certaines universités s'en alarment. Depuis 2008 celle de Poitiers s'est intéressée à ce phénomène, le Dr Marie Pluzanski en poste en médecine préventive observe que: "ce n'est pas tant lors de consultations médicales que le lièvre est levé. C'est au cours d'entretiens avec des assistantes sociales qui reconstituent l'historique de leur budget, que les zones d'ombre apparaissent".
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