A la distance où se trouve le tireur, et avec larme quil utilise, le titane résiste (mais tremble bien plus que le vibranium, évidemment). Une vidéo en slow motion et bien what the fuck comme on en trouve parfois sur le net (quand des...
L'hémorragie cérébrale constitue la troisième forme d'AVC. Si elle est plus rare, elle est également plus grave car elle se traduit par la rupture d'une artère cérébrale au niveau d'un anévrisme. Quelles sont les causes de l'AVC? Certes, les causes susceptibles d'entraîner un accident vasculaire de ce type sont relativement nombreuses même si l'athérosclérose en est la principale. Cette dégénérescence artérielle se résume en un épaississement de la paroi des artères et en leur obstruction par la formation d'amas de lipides, appelés plaques d'athérome. En seconde position des causes probables d'une attaque cérébrale figure également l'hypertension qui, à terme, est susceptible d'exercer une pression trop importante sur les artères et de précipiter leur rupture. Enfin, la présence d'un anévrisme représente aussi un facteur de risque important d'hémorragie cérébrale. Quels sont les facteurs de risque? Il existe plusieurs facteurs de risques de développer un AVC. Certains d'entre eux sont maîtrisables, d'autres non: l'âge: les personnes de plus de 75 ans présentent plus de risques d'être victimes d'une attaque cérébrale; l' hypertension artérielle; l' hypercholestérolémie; le diabète; le tabagisme; la consommation d'alcool; la sédentarité; certains troubles cardiaques: insuffisance cardiaque, arythmie, anomalie de la valve cardiaque; un premier accident vasculaire cérébral.
Chaque minute est essentielle: en une heure, ce sont 120 millions de neurones qui sont perdus! Et après 4h30 il est trop tard pour mettre en place un traitement qui revasculariserait le cerveau" explique le Pr Mathieu Zuber, chef du service de neurologie et de neuro-vasculaire du Groupe hospitalier Paris Saint-Joseph. AVC: 3 symptômes à connaître par cœur A l'aide d'un clip musical téléchargeable sur le site, l'association d'aide aux patients France AVC et la Société française neuro-vasculaire espèrent que les trois symptômes principaux qui signent le début d'un AVC seront rapidement connus de tous, y compris des enfants. L'objectif étant de faire comprendre le caractère urgent de l'intervention des secours car les AVC font chaque année 30 000 morts en France. Votre visage se paralyse et la bouche dévie Vous perdez la force ou la motricité d'un bras, d'une jambe ou carrément de la moitié du corps Vous avez des troubles de la parole, des difficultés à trouver les mots ou à les exprimer "Dès l'apparition de l'un de ces symptômes, même s'il régresse rapidement, il est primordial de prévenir les services d'urgence en composant le 15.
Et de les prévenir VITE" insiste le Pr Zuber. "Sur quatre personnes traitées dans les 90 mn après l'apparition des premiers signes d'AVC, une d'entre elles s'en sortira sans séquelles. Et le nombre de personnes qui s'en sortent sans séquelles diminue à mesure que le temps de prise en charge augmente" martèle-t-il. L'AVC en chiffres 771 000 personnes ont été touchées par un AVC en France et en subissent encore les séquelles 3e cause de mortalité après les cancers et l'infarctus du myocarde et 2e cause de démence après la maladie d'Alzheimer. 1 AVC toutes les 4 mn en France 3 personnes sur 4 ayant un AVC ont plus de 65 ans. Mais le nombre de jeunes pris en charge pour un accident vasculaire cérébral va croissant, en raison de l'augmentation du diabète, de l'obésité et de la consommation de cannabis. A lire aussi: Infographie: 6 façons simples de diminuer le risque d'AVC AVC: on les traite de mieux en mieux Inscrivez-vous à la Newsletter Top Santé et recevez gratuitement votre livret de recettes légères et gourmandes
news Les signes de l'accident ischémique transitoire (AIT) sont importants à reconnaître car une prise en charge rapide est nécessaire pour éviter que la situation empire. Par définition, l'AIT, appelé aussi mini-AVC, ne laisse pas de séquelles. Mais il s'agit d' un signal d'alarme extrêmement important, dans la mesure où il annonce un possible événement bien plus grave, l'accident vasculaire cérébral (AVC), dans les jours, les semaines ou les mois qui suivent. Il est essentiel que le patient soit traité dans les plus brefs délais, par des médicaments (anticoagulant ou antiagrégant plaquettaire), avec ou sans chirurgie (endartériectomie de la carotide, afin d'enlever la plaque qui obstrue l'artère), et dans tous les cas une adaptation du mode de vie (alimentation, activité physique, tabac…) et une gestion des facteurs de risque (hypertension, cholestérol…). Dans une proportion importante de cas, les patients réagissent avec retard, par méconnaissance des symptômes de l'AIT. Une équipe britannique (John Radcliffe Hospital, Oxford) a approfondi cet aspect auprès d'un groupe de personnes affectées par un AIT.
9 personnes sur 10 ne connaissent pas les symptômes de l'accident vasculaire cérébral alors que chaque année en France, 130 000 personnes en sont victimes et que chaque minute compte pour éviter les séquelles. V comme Visage paralysé, I comme Inertie d'un membre, T comme Trouble de la parole et E comme… En urgence on appelle le 15! VITE, c'est une campagne d'information sur l'accident vasculaire cérébral qui a pour vocation de sensibiliser la population aux symptômes de l'AVC et de leur faire comprendre la nécessité d'appeler le 15 le plus vite possible dès l'apparition de ces symptômes. L'AVC, c'est comme un orage qui éclate dans un ciel serein. Tout à coup, et de façon très brutale, une région du cerveau ne fonctionne plus correctement. Dans 80% des cas, c'est un vaisseau ou une artère du cerveau qui se bouche, on parle alors d'infarctus ischémique. Dans 20% des cas, c'est un vaisseau qui saigne, on parle alors d'hémorragie cérébrale. Mais quelle que soit son origine, un accident vasculaire cérébral représente une urgence vitale qui doit être prise en charge le plus rapidement possible.
Les symptômes les plus fréquents étaient le trouble de la parole (40%), une monoplégie (paralysie d'un seul membre, ici le plus souvent à droite) et un trouble de la vision (qui, isolé, n'a jamais fait penser à un AIT). Comment ont réagi les patients? La plupart se sont adressés à leur généraliste (la moitié d'entre eux seulement l'ont vu dans les 24 h), les autres ont consulté un ophtalmologue, et seuls 18% ont appelé les urgences ou se sont rendus directement à l'hôpital (ce qui est la bonne réaction). Globalement, environ 60% des patients ont consulté avec retard (une majorité a simplement attendu le lendemain) et un tiers ont été vus par un médecin au-delà de la 48ème heure après l'événement. Ainsi que l'explique le Dr Jean-Fred Warlin (Journal international de médecine), « ces données montrent qu'il faut réaffirmer l'urgence de consulter au moindre doute », et rappeler les signes d'alerte de l'AIT, en particulier les moins connus, comme les troubles visuels. Quels sont ces symptômes majeurs, qui surviennent brutalement?
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